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Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
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Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Résumé :
Les Divisions de fer est une nouvelle série uchronique guerrière mettant en scène des mécha panzers géants. Comment l’apparition d’une nouvelle technologie en 1944 va inverser le cours du second conflit mondial et entrainer les Allemands vers la victoire.
« Commando Rouge » est l’album d’ouverture de la série des « Divisions de Fer »
Sur le front Est, les dernières poches de résistances de l’Armée rouge tombent les unes après les autres. Pour sauver Moscou, le général Joukov réunit le Commando rouge. Engoncés dans leurs armures mécanisées et blindées, les plus grands héros de l’Armée rouge vont participer à une opération de la dernière chance : s’emparer du meilleur Mekapanzer Nazi et le retourner contre l’armée allemande.
Mais au sein du Commando rouge, Joukov commet peut-être une erreur en incluant Nia, la fougueuse pilote idéaliste et un Komissar politique fanatisé au commandement brutal. Ils vont devoir apprendre à combattre côte à côte ou à mourir !
Merci à Sieben pour l'alerte !
Commençons par nous mettre dans l’ambiance :
Commençons par nous mettre dans l’ambiance :
Que voilà un programme réjouissant pour une bande-dessinée, française pour ne rien gâcher : mélanger méchas et WWII !!!
Ah remember Macross et Gundam… Et j’imagine que les joueurs de Dust vont kiffer leur race ! Et en plus c’est héroïne guerrière + power armor ! Cela m’a rappelé aux bons souvenirs de All you need is kill, Evangelion et Gun Buster… ^^
Nous sommes clairement dans l’uchronie, avec un niveau technologique plus avancée que dans la réalité : nous sommes donc dans les machins punks, plus précisément le dieselpunk ou le premier XXe siècle uchronique.
Quel est le point de divergence ? Le 6 mai 1943 et l’opération d’exfiltration qui conduisit au rapatriement d’Albert Einstein et de se travaux dans le IIIe Reich. Du coup les programmes scientifiques nazis prennent de l’avance et la contre-offensive des Ardennes est un franc succès, suivi par son équivalent sur le front est de l’Oder-Vistule : les Anglo-saxons sont repoussés outre Atlantique et l’URSS outre Volga par les mekapanzers de la IIIe Panzerstahlläuferdivizion.
L’histoire commence avec le komissar politique Kirigin qui cherche à rejoindre Moscou avec des informations stratégiques volées à l’ennemi. Le destin met sur son chemin le lieutenant Tania Yakvolev, pilote de la 1ère escadre féminine de chasse du 46e régiment de la garde, héroïne de guerre multimédaillée. Le sort en est jeté…
Toute la suite du récit tournera autour de la belle Tania qui fait chavirer les cœurs et les têtes :
- celle du komissar Kirigin, qui admire et désire celle qu’il vénère comme une déesse de la guerre
- celle du camarade Spartak, qui aimerait bien que celle qu’il appelle « slavnaïa » ne soit pas que son amie, mais aussi son amante
- celle du capitaine Lavassière, unique survivant de l’escadrille Normandie-Niemen, car elle lui rappelle son amour défunt Milena
Tous participent une unité expérimentale d’armures de combat alimentées au diesel (je vous avais bien dit qu’on était dans un univers dieselpunk n’est pas ? ^^), destinée à réaliser l’opération « commando rouge » : le vol de la mekaforteresse Wilhelm Gustloff ! Et on suit les chouettes archétypes du film de guerre : phase de recrutement, phase d’entraînement, opération sur le terrain et grand final à la fois explosif et tragique. Si je ne mets pas directement 5 étoiles, c’est qu’à un moment crucial, les stéréotypes s’enchaînent de manière un peu précipitée, voire-même forcée, ce qui a un peu atténuer mon bon kiffe.
Niveau dessins, c’est bien voire très bien. Je suis fort ravi de découvrir le travail de Ronan Toulhoat. Il y a un bon équilibre entre les personnages, toujours très expressifs, les mechas, toujours très cools, et les décors naturels ou industriels de la mère patrie en ruines sur font d’ambiance hivernale… Jeux des références oblige, j’ai bien kiffé le gros côté Warhammer 40000 et le petit côté Bataille de Hoth de L’Empire contre attaque pas déplaisant du tout : c’est la guerre et puis c’est tout ! ^^
Je ne suis pas assez fin technicien pour porter un jugement sûr, mais il m’a semblé qu’il y avait une bonne synergie entre le dessin, l’encrage et la colorisation (Ronan Toulhoat se chargeant de ses 3 aspects). En effet l’association de teintes grisâtres et de teintes sépia collaient vraiment bien au propos…
Après il y a 2 petits trucs qui m’ont un peu titillé :
- les cases ne sont pas délimitées du fond, blanc ou noir selon les scènes, et cela m’a un peu décontenancé car je suis peu habitué à ce procédé
- je ne suis pas arrivé à savoir ce que le dessinateur voulait faire du charadesign de l’héroïne soviétique : rousse ou blonde, yeux jaunes ou yeux verts, tâches de rousseur ou pas de tâche de rousseur, athlétique ou voluptueuse, masculine ou féminine, triste ou joviale, introvertie ou extravertie, faible ou forte ? Je n’ai jamais su le cerner et me positionner, mais cela ne m’a pas empêché d’apprécier.
Les fées semblent s’être penchées sur le bébé de Jean-Luc Sala, et la série démarre sous les meilleurs auspices puisque qu’on attend déjà le tome 2 intitulé « Pacific invasion », et le tome 3 intitulé « Opération Rebalance ». Et l’auteur a des couilles, puisque qu’il annonce tout son univers de l’incident Richthofen en 1917 à l’invasion des Etats-Unis en 1948. Alors si vous voulez savoir en quoi consiste le master plan de Goering et Yamashita après l’échec du J-Day, il ne vous reste qu’à investir dans cette série. Bref, vivement les suites !
C’était le tovarich Albericnievki, en direct de la résistance soviétique en Alaska, dernière ligne de défense de la Grande Alliance contre les mekapanzers du fascisme allemand !!! ^^
Dernière édition par Albéric le Ven 13 Jan - 21:17, édité 2 fois
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Eh béh ! Ça c'est un avis ! Ravi que ça t'ait plus. Moi ce n'est pas trop mon truc ce genre de dessin mais je me suis dit que le pitch pourrait plaire à certains sur ce forum. Et l'attente ne sera pas trop longue entre les albums comme tu le dis puisque le tome 2 sortira très prochainement.
En revanche il est dommage que les tomes suivants n'est pas de rapport direct avec le premier tome et qu'ils seront dessinés par d'autres (même procédé que sur Elfes donc).
En revanche il est dommage que les tomes suivants n'est pas de rapport direct avec le premier tome et qu'ils seront dessinés par d'autres (même procédé que sur Elfes donc).
Sieben- Navarque de la flotte macédonienne
- Date d'inscription : 12/02/2013
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Tu me l'apprends. Je me superméfie du procédé, mais jusqu'à présent je n'ai jamais eu à me plaindre des séries qui l'ont utilisée (sauf le 1er cycle de L'Histoire Secrète où certains dessinateurs étaient clairement hors-sujet). Je suis par contre beaucoup plus sévère avec ces belles illustrations de couvertures qui n'ont aucun rapport avec les graphismes du contenu. Mais on en avait déjà parlé.Sieben a écrit:En revanche il est dommage que les tomes suivants n'est pas de rapport direct avec le premier tome et qu'ils seront dessinés par d'autres (même procédé que sur Elfes donc).
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Résumé du tome 2 : Pacific Invasion
Et si des Mekapanzers, des Tanks marcheurs géants, avaient été créés en 1944, bouleversant à jamais le cours de la guerre ?
7 Mai 1948 : les forces japonaises débarquent sur les côtes californiennes ! Après la périlleuse mission soviétique du tome 1, juste avant la chute de Moscou, ce deuxième chapitre nous entraine sur le front pacifique, alors qu’une armada de mekas blindés Japonais met à mal les lignes de défenses américaines.
Jeunes recrues, Casey et ses amis ont grandi ensemble. La guerre les a extirpés du rêve californien, leur vie étant jusque-là partagée entre l’apprentissage d’un métier, les sorties en ville avec les filles et le pop-corn du cinéma El Camino.
Recrutés pour la Coastal Home Guard, ils sont affectés à la surveillance des plages dans un bunker. Ils seront les premiers soldats américains à affronter les Blindés Marcheurs Géants de l’Empire Japonais.
Commençons par nous mettre dans l’ambiance :
Ah remember Macross et Gundam… Et j’imagine que les joueurs de Dust vont kiffer leur race !
Nous sommes clairement dans l’uchronie, avec un niveau technologique plus avancée que dans la réalité : nous sommes donc dans les machins punks, plus précisément le dieselpunk ou le premier XXe siècle uchronique.
Quel est le point de divergence ? Le 6 mai 1943 et l’opération d’exfiltration qui conduisit au rapatriement d’Albert Einstein et de se travaux dans le IIIe Reich. Du coup les programmes scientifiques nazis prennent de l’avance et la contre-offensive des Ardennes est un franc succès, suivi par son équivalent sur le front est de l’Oder-Vistule : les Anglo-saxons sont repoussés outre Atlantique et l’URSS outre Volga par les mekapanzers de la IIIe Panzerstahlläuferdivizion, tandis que suite aux transferts de technologies entre l’Allemagne et le Japon, l’armée impériale s’empare d’Hawaï avant de lorgner sur la côte pacifique des Etats-Unis…
L’histoire commence avec une bande de copains de San Rafael, Californie, qui après s’être engagé dans un Pal Battalion se retrouve au mauvais endroit eu mauvais moment : à San Diego le 7 mai 1948, jour du J-Day (un D-Day à l’envers où l’armada japonaise débarque sur le sol américain dans l’intention de mener une blitzkrieg jusqu’à la Maison Blanche de Washington).
Steven Spielberg s’était moqué de l’idée d’un débarquement nippon dans son film 1941. Sauf qu’ici c’est pour de vrai !
Et on retrouve un peu l’ambiance de Voyage au bout de l’enfer (1978), du Maître de guerre (1986), et sans tous ses bons vieux films de guerre anciens ou modernes que ma culture pas aussi grande que je le voudrais dans ce domaine ne m’a pas permis d’identifier…
Nous suivons dans leur dernière chevauchée :
- le sergent McKenzie, instructeur et vétéran de la Bataille des Ardennes
- le caporal dur à cuire Keith Weissman (qui a dit sosie de Clint Eastwood ?)
- David Suster, l’étudiant canadien et Henry l’afro-américain
- Doug Corsey, qui s’est découvert une vocation de sniper
- Forlini l’ouvrier viticole et Oscar le quaterback
- le troufion 1ère classe Casey McDouglas
Au fur et à mesure des rencontres avec les troupes nippones, la chaîne hiérarchique est élaguée, et c’est le troufion Casey qui prend la tête des opérations jusqu’à l’amère fin… Alors que tout est vue à travers des yeux de Rosie, qui lit à nous autres lecteurs les derniers mots écris par son ancien fiancé KIA (= Killed In Action).
On pourra repérer quelques grosses ficelles pour que tout tiennent en moins de 50 pages mais qu’importe !
- Spoiler:
- Les soldats en cavale qui tombent par hasard sur un membre de l’état-major ennemi, brûlés et déchiqueté par une explosion mais portant intacte la gibecière contenant des informations capitale à transmettre d’urgence et coûte que coûte au centre de commandement allié… les 2 méchas abandonné par l’armée dans la base de San Ysidro… ou le fait qu’il n’y pas de téléphone ou de terrain d’aviation entre la Californie et le Texas !
L’histoire est pas mal du tout et pour ne rien gâcher plutôt bien racontée.
Là où le bât blesse, c’est au niveau des dessins d’Afif Khaled. Non, qu’ils soient mauvais, mais déjà ils sont différents et à mon goût bien moins plaisants que ceux très Stalingrad style de Ronan Toulhouat, qui ici ne signe que l’illustration de couverture. Le vrai problème étant en fait qu’ils terriblement inconstants vu qu’il n’y guère de cohérence dans le charadesign ! Ainsi difficile de remettre les personnages et de s’y attacher quand ces derniers change de style, de traits, de look voire de morphologie d’une page à l’autre : Keith qui change de coiffure de chevaux aussi vite et aussi radicalement qu’un joueur de football fashion victime, Henry qui change je ne sais pas combien de fois de couleur de cheveux, David qui ressemble à Guy Pearce au début du récit et à James Coburn à la fin du récit, Oscar qui ressemble parfois à un beau gosse tourmenté, parfois à un bad boy badass, parfois à un malabar butor, Forlani dont la barbe de 3 jours apparaît ou disparait comme par magie… c’est un peu n’importe quoi à ce niveau là !
Pire, il y a çà et là des erreurs de proportions, de symétries ou de perspectives qui un piquent peu les yeux. Alors si on ajoute des soldats japonais qui ne ressemblent pas à grand-chose, des graphismes qui d’une case à l’autre passent d’une approche réaliste à une approche cartoonesque, et des vignettes qui niveau dessins, encrage et colorisation donnent l’impression d’avoir été fait ou achevé à l’arrache, et une honteuse confusion entre les personnages de Doug et David dans la scène finale… passé un cap on se retrouve avec une BD pas fignolée du tout dans son rendu final. bisque, bisque, rage !
C’est d’autant plus dommage que certains éléments sont assez réussis comme le charadesign de Rosie, mignonne à croquer en pin-up comme en munitionnette ou le chouette baroud d’honneur d’Henry contre le commandant japonais mis en scène comme un western classique de la grande époque… Mais les approximations, pour rester gentil, tirent clairement l’ensemble vers le bas. J’ose espérer que le dessine Stefano Martino sera autrement plus sérieux dans son travail pour la tome 3 intitulé Opération Rebalance.
Dernière édition par Albéric le Sam 22 Juin - 9:24, édité 3 fois
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Un film Dust ?
http://www.hollywoodreporter.com/heat-vision/were-millers-director-tackling-adaptation-778963
Lu Les Divisions de Fer. Je vais juste dire pour la faire vraiment très court, que je te rejoint Albéric. Bien aimé le tome 1 autant graphiquement qu'au niveau du scénar qui n'est pas aussi téléphoné que prévu. Et franchement déçu par le tome 2 autant graphiquement avec ces tête qui se ressemblent, qu'au niveau du scénar qui lui fait vraiment formaté et bourrin limite nanar.
http://www.hollywoodreporter.com/heat-vision/were-millers-director-tackling-adaptation-778963
Lu Les Divisions de Fer. Je vais juste dire pour la faire vraiment très court, que je te rejoint Albéric. Bien aimé le tome 1 autant graphiquement qu'au niveau du scénar qui n'est pas aussi téléphoné que prévu. Et franchement déçu par le tome 2 autant graphiquement avec ces tête qui se ressemblent, qu'au niveau du scénar qui lui fait vraiment formaté et bourrin limite nanar.
Sieben- Navarque de la flotte macédonienne
- Date d'inscription : 12/02/2013
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Le tome 2 est d'autant plus décevant qu'on sent le potentiel malgré tout, et puis la fin est assez réussie. L'arrière-goût de bâclage est assez désagréable... Mais on ne peut pas gagner à tous les coups, donc je croise les doigts pour le tome 3 !
une adapation ciné de Dust ? cool...
une adapation ciné de Dust ? cool...
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Jean-Luc Sala, Les Divisions de fer
Résumé tome 3 : Operation Rebalance
Au cœur de la forêt de Mazurie, dans l’ancienne Pologne, s’avance un convoi de blindés allemands.
À son bord, un commando allié déguisé en SS. Ils projettent de s’infiltrer au coeur de la base la plus secrète du Reich pour libérer Albert Einstein, enlevé par les nazis pour travailler sur leur programme d’armes secrètes.
Ces soldats sont des durs à cuir, les meilleurs salopards des forces alliés. Des loups
prêts à fondre sur l’ennemi mais qui peuvent à tout moment se dévorer entre eux.
Parmi eux, Jonah Karmann, un jeune scientifique juif dont la famille a été anéanti par les nazis. Il constate qu’en enfilant l’uniforme de l’ennemi, ils risquent de devenir comme ceux qu’ils combattent. Lui, plus que tout autre, pourrait basculer.
Ce 3e tome des Divisions de Fer se situe chronologiquement entre les tomes 1 et 2.
L'Opération Rebalance consiste à infiltrer le plus grand centre de recherche nazi pour y récupérer les savants alliés enlevés le 6 mai 1943 à Alamogordo, et se débarrasser de la fine fleure de la science allemande par la même occasion. Nous allons donc suivre dans ce qu'il reste de l'ancienne Pologne la mission impossible du vétéran de la campagne africaine Thomas Hornby, de l'opérateur radio Eckbert Kerpe, du tankiste Stan Darben, du commando écossais Grant Thorbun, du commando ukrainien Mykola Kaminsky, du résistant allemand Ruedi Wehner, de l'officier du SOE Victor Sanders et de Jonah Karman, un ancien savant juif allemand réfugié aux Etats-Unis qui a perdu sa bien-aimée dans les bombardements de New York… Ce dernier est le plus fragile et le plus instable du groupe, mais c'est le seul capable d'identifier les bons et les méchants dans la pétaudière scientifique national-socialiste. Sauf que les nazis ont leurs propres objectifs et qu'un traître se cache parmi le commando allié…
L'introduction qui montre la débâcle des Alliés, abandonnés à leur triste sort par les Etats-Unis est très bien, mais la chute elle est carrément excellente ! Et entre les deux, on pioche dans les codes de ces bons vieux récits de guerre, qu'ils soient littéraires ou cinématographiques que j'aime tant et que j'espère vous aimez aussi (genre Les Douze salopards ou Quand les Aigles attaquent ^^).
- Spoiler:
- Jonah Karman recruté pour trier le bon grain de l'ivraie tue tout le monde, les savants ayant participé à la course aux armements étant à ses yeux tous aussi coupables les uns que les autres, avec la complicité de Tania Yakvolev qui ne vit plus que pour anéantir ceux qui anéanti sa famille dans l'atomisation de Moscou.
Une fois de plus, je pense à la chasseuse de nazis du film Outpost 2 qui se rend compte que le national socialisme n'est que l'un des avatars des forces occultes de la crevardise et qui décide de partir en croisade contre les ploutocrates qui se croient au-dessus du commun des mortels… Que ces derniers aillent tous au diable !
Une histoire aussi sérieuse méritait des graphismes plus ambitieux. Mais peut-être est-ce moi qui était trop exigeant ? Pourtant je n'ai pas grand-chose à reprocher aux dessins de l'italien Stefano Martino ou aux couleurs de Digikore Studios, mais je crois en fait que ces standards de qualité ne me suffisent plus pour kiffer… Sinon, encore une chouette couverture de Ronan Toulhoat (quand est-ce qu'il revient sur la série celui-là ?).
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
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