Le Prince Noir : donnez votre avis !

Bonne fermeture du cycle ! J'ai été grandement surpris par la manière dont a été vaincu le roi invincible et maléfique Phillipos et bien été capté par la lutte intérieure d'Alexandre contre le Dieu Noir.

Hélas, les conquêtes d'Alexandre le Grand ne sont que contées brièvement et sur peu de pages, malgré que son état vacillant entre sa part humaine et son coté obscur était réellement intriguant ! Également, les batailles relatées sont brèves, le grand roi perse Darius n'étant vaincu qu'en l'espace de deux pages.

Si ça aurait été plus plus long, ça aurait été excellent !

j'ai adoré cette série.... Et j'ai eu un gros coup de coeur pour Attalus.
Vraiment bien menée, je ne sais pas comment décrire ce que je ressens, mais les personnages, les stratégies, même la traversée des mondes (après avoir lu jon shannow j'avais un peu peur) tout s'imbrique de façon à me faire dire "encoooore".
Quant à l'histoire d'amour, je l'ai trouvé adorable, bien que dérae aurait très bien pu se révéler avant à son cher et tendre, on était plus à une intervention près, mais, c'est sûr c'était bien moins romantique/dramatique.

Bon maintenant, j'ai épuisé tous les gemmell de la bibliothèque :"(

je le relirai surement, en tout cas je ne regrette pas de les avoir acheté. :thumright:
je les ai lu dans la collection delrey (la saga est en tomes du coup).

j'ai vraiment apprécié cette série comme tout gemmellien je présume mais, (et oui il y un mais :() disons que j'ai quelques bémol à mettre sur certains passages...

Spoiler:

mais il y beaucoup de passges splendides, qui sont d'ailleurs la raison pour laquelle je relirai sans doute cette saga

Spoiler:

Je suis d'accord avec tes premiers spoilers, ça m'a déçue aussi :p
C'était de trop ^^

Ah voila, j'ai fini le cycle hier soir, je vais donc faire la synthèse des 4 tomes directement sur ce post.

Pour ma part j'ai vraiment trouvé le récit plus complet qu'un romand indépendant de Gemmell ou même d'un cycle comme celui de Shannow ou même des rigantes.

Comme l'avait si justement fait remarquer Tarentio, notre maître écrivain ne se contente pas d'entrer dans la facilité en choississant le personnage logique d'alexandre et l'insérer au coeur du récit. Mais bien un modeste officier de son armée (historiquement parlant), propulsé au rang du plus grand général de son temps, la mort des nations!

Déjà, cette audace m'avait scotché! Ensuite je disais qu'il était le cycle le plus complet, d'abord par son histoire, son environnement, son univers. Après pour son intrigue, que s'est bien ficelé!:

Spoiler:

Que de bonnes idées stratégiques, entre les descriptions justes époustouflantes des batailles, où en fin de chapitre, on n'a qu'une idée, c'est trouver une épée et un ennemi à combattre :P mais aussi :

Spoiler:

Ensuite les personnages, tous aussi torturées et grands dans leurs actes et leurs idéaux, Je ne vais pas tous les citer, vous m'aruez compris je pense^^

Un truc qui m'a interpellé, au début de la tome "L'Esprit du Chaos" quand:

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Par contre:

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Quoi qu'il en soit j'ai vraiment apprécié ce cycle que j'ai trouvé très abouti. On y retrouve toute la grandeur et l'esprit de Gemmell, quant à l'histoire d'amour, si belle mais si triste en même temps!

Que du bon (je n'ai pas le temps de continuer à écrire, je reprends le boulot hahaha. J'ajouterai d'autres éléments qi m'ont marqué plus tard.)

Sur ce, à bientôt compagnons Gemmelliens!

oui c'est vraie l'histoire de Parminion est génial et ses rencontre avec certain personnage sont attachant et la fin est bien ont ne reste pas sur sa fin =) un seul regret que l'histoire soit fini.

Comme le précédent intervenant, mon avis sur Le Prince Noir est mitigé.
L'auteur se tourne vers une fantasy plus classique donc moins savoureuse. Les tomes précédents, plus historisants étaient plus passionnants.

Spoiler:

Par contre le côté fantasy avec les créatures mythologiques est plutôt édulcoré donc de ce point de vue c'est pas vraiment réussi.
Pour les grosse bébêtes qui font peur, David Gemmell a fait mieux.

Mais je ne me plains pas non plus, car l'ensemble reste très sympathique et la bataille finale est bien épique !

J'ai trouvé ce tome tout simplement magnifique,le meilleur de la saga selon moi.
Gemmell nous régale une fois de plus avec de superbes scènes de combat. 8)
Un des meilleurs livres que David Gemmell ait fait.

Il est connu pour êtr l'un de ses cycles les plus abouttis... c'est sans doute pas pour rien!^^ Je viens de l'acheter et k'ai bientôt fini le premier tome, je vous ferais part de mes impressions!

Pour ceux qui veulent se mater un film, je vous rappelle que le personnage de Parmenion est présent dans le film Alexandre, d'Oliver Stone.
C'est l'acteur John Kavanagh qui l'interprète.

Ah? j'ai vu ce film il y a longtemps... Me souviens pas de l'oeuvre en elle même, juste que j'avais bien aimé. Me souvenais pas que Parménion était présent dedans! Ca m'apprendra à pas voir assez de péplums!!!^^

Mon commentaire porte sur l'édition Mnémos qui a bénéficié d'une retraduction et non pas sur la parution en 4 volumes de chez Folio.

Contrairement à vous tous, je crois, j'ai été très déçu par le dyptique de Gemmell. Traiter d'un conquérant qui se veut le plus grand de tous les temps en racontant le tout dans un histoire d'heroic fantasy, c'est du grand n'importe quoi. Les personnages peuvent mourir, fusionner, sauter d'une époque à l'autre, bref tous les coups sont permis pour faire lever la sauce. Malheureusement, le sujet aurait grandement bénéficier d'un traitement à la Troie.
La Bataille du Granique, un haut fait d'armes est expédiée très/trop rapidement et nulle mention de la bataille de Gaugamèles qui fut l'affrontement décisif entre l'armée d'Alexandre le Grand et celle de Darios III. Gemmell a volontairement mis sous silence ce qui a probablement été une sinon la plus grande bataille de l'Antiquité.

Bref, oui je vais m'ennuyer de Parmenion et autres personnages de cette courte série, mais pour vraiment en apprendre plus sur Alexandre le Grand, allez donc lire Le roman d'Alexandre le Grand de Valerio Manfredi.

Dardalion a écrit:Mais il y a un gros point noir c'est le personnage d'Alexandre qui manque complètement de crédibilité.

Spoiler:

Tout à fait d'accord, le personnage d'Alexandre à 4 ans est tout à fait raté et absolument non crédible.

Balbuzard a écrit:Dans ce bouquin, il y a une des meilleures scènes de stratégie (ca se dit?) que j'ai jamais lu, même dans d'autres Gemmell

Cette scène était tellement prévisible et télégraphiée qu'elle était prévisible dès le début.
J'ajouterais qu'elle n'était réalisable que sur papier parce que les esclaves se seraient fait totalement enfoncés dès le départ.

Vassago a écrit:Hélas, les conquêtes d'Alexandre le Grand ne sont que contées brièvement et sur peu de pages, malgré que son état vacillant entre sa part humaine et son coté obscur était réellement intriguant ! Également, les batailles relatées sont brèves, le grand roi perse Darius n'étant vaincu qu'en l'espace de deux pages.

Si ça aurait été plus plus long, ça aurait été excellent !

Une fin précipitée d'un bouquin plus que moyen. C'est comme si Gemmell s'était aperçu qu'il avait étiré la sauce et qu'il ne lui restait pas assez de pages pour évoquer le parcours d'Alexandre en Asie.

Si vous n'êtes pas d'accord, lisez d'autres auteurs renommés (pitié, pas du Terry Goodkind), et ensuite vous porterez un jugement plus critique. Par exemple, tentez du Bernard Cornwell.

Mais parmenion est connu (du moins dans le cycle de gemmell) pour pouvoir réaliser l'impossible, sur le champ de bataille!^^
S'il avait voulu faire réaliste, il n'aurait pas impémenté la magie a son oeuvre...
en tout cas, je lis le secnd tome en ce moment, et je dois dire que j'ai hate de lire celui auquel est consacré ce topic(meme si je vais certainement changer d'auteur le temp d'un bouquin pour rafraichir mes yeux, je pense)

PS: j'ai toujours admiré gemmell pour sa narration des batailles! un vrai Sieben, ce David!

Duvodas a écrit:Mais parmenion est connu(du moins dans le cycle de gemmell) pour pouvoir réaliser l'impossible, sur le champ de bataille!^^

Justement, les hommes dont il était question sont plus grands que nature, ils ont accomplis des exploits hors du commun, il n'était nullement nécessaire d'ajouter la magie, ce qui revient à diminuer leurs exploits.

c'est pas faut, ce que tu dis là! C'est vrai qu'un homme prend une dimension exceptionnellepar ses seules valeurs, sans avoir besoin de recourir à quelque artifice...
je pense qu'il faut mettre ca sur le dos de la rentabilité, car il ne faut pas oublier que c'était le gagne-pain de david. Même si l'on se rend bien compte que l'auteur y met tout son coeur et toute sa passion, il doit à chaque ligne s'assurer que cela plaira AUSSI au ecteur! Peut-être qu'il comptait attirer le lecteur en insérant de la magie au récit. Ou allors il voulait juste refaire l'histoire à sa sauce... en tout cas, ca a bel et bien attiré les lecteurs!^^

Duvodas a écrit:c'est pas faut, ce que tu dis là! C'est vrai qu'un homme prend une dimension exceptionnellepar ses seules valeurs, sans avoir besoin de recourir à quelque artifice...
je pense qu'il faut mettre ca sur le dos de la rentabilité, car il ne faut pas oublier que c'était le gagne-pain de david. Même si l'on se rend bien compte que l'auteur y met tout son coeur et toute sa passion, il doit à chaque ligne s'assurer que cela plaira AUSSI au ecteur! Peut-être qu'il comptait attirer le lecteur en insérant de la magie au récit. Ou allors il voulait juste refaire l'histoire à sa sauce... en tout cas, ca a bel et bien attiré les lecteurs!^^

Dans Troie, il a fait abstraction de la magie, et pourtant les Dieux sont présents dans l'Iliade. Pourtant, la trilogie de troie atteint des sommets inégalés dans l'oeuvre de Gemmell.

À mon avis, Gemmell était à ses débuts et ça se reflète dans son style. Le Gemmell de Troie est nettement plus mature et à son apogée.

L'écriture, ca doit être comme tout, l'experience s'cqiert avec le temps et la pratique. Mais en meme temps, troie était la dernière oeuvre de gemmell, donc c'est normal qu'on y percoive plus de savoir-faire...

Je trouve ca interessant(même si moins plaisant, évidemment) de lire des romans d'auteurs encore inéxpérimentés et de suivre l'évolution de leur style, de leurs performances narratives au fil des publications.

Duvodas a écrit:L'écriture, ca doit être comme tout, l'experience s'cqiert avec le temps et la pratique. Mais en meme temps, troie était la dernière oeuvre de gemmell, donc c'est normal qu'on y percoive plus de savoir-faire...

Je trouve ca interessant(même si moins plaisant, évidemment) de lire des romans d'auteurs encore inéxpérimentés et de suivre l'évolution de leur style, de leurs performances narratives au fil des publications.

Essaie avec des expérimentés aussi, ils passeront de maitre èa virtuose. :P
Encore plus intéressant... :green:

C'est sûr qu'à ce moment là, on passe a un autre niveau... J'aime le virtuose!!! Ce que j'adore par dessus tout, c'est de vivre une aventure énorme, épique et fantastique... dans mon lit, peinard le dimanche matin! :P
Vis voir ca, parceque comme je l'ai dit, vais faire une pause, me suis enfilé pas mal de Gemmell en ce moment, du cooup, je vais surement lire farlander, et après, un petit bouquin de VIRTUOSE, ca pourrait être bien sympa!^^

Faut bien avouer que Gemmell n'a jamais su entrer dans la tête de ses personnages féminins ou des enfants, et n'a jamais su les rendre crédible.

Un court extrait de L'Armée Perdue de Valerio Manfredi, pour vous donner un aperçu du défi qu'avait à relever Xénophon :

L'événement se passe après la bataille de Counaxa, près de Babylone.

[...]En vérité, nous n'avions ni tentes, ni couches, ni couvertures.
Nous n'avions ni nourriture, ni eau. Épuisés, les guerriers s'allongèrent à même le sol. Les hommes valides soignaient les blessés en leur préparant des bandages de fortune. Ils s'étaient battus pendant des heures, avaient parcouru des dizaines et des dizaines de stades, et ils ne disposaient que de leur cape et de la terre nue pour dormir.

Par la suite débutera la fameuse Marche des Dix Mille, où les Spartiates dirigés par l'Athénien Xénophon réaliseront l'un des plus grands actes d'héroïsme collectif du monde antique.

Tout à fait normal que Parmenion ait fait de Xénophon son mentor.

La mythiue Marche des Dix-Mille, oui. Je n'avais pas beaucoup touché à la grèc antique avant de lire Gemmell, mais je m'y mettrait certainement plus après le Lion de Macédoine.