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Peplum forever
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Re: Peplum forever
Concernant Constantin le Grand :
Pas convaincu, voire même déçu.
Scénarisation :
Cette hagiographie du premier empereur chrétien n’a pas marché avec moi. Quand on connaît la très longue liste de ses crimes personnels ou de masses, le voir ici en chantre de la tolérance, de l’amitié et de la solidarité entre les peuples cela me hérisse le poil. Le message humaniste est fort joli, et il aurait gagné à être accompagné d’un peu plus de pédagogie sur le Bas Empire (la tétrarchie est bazardée en 1 dialogue) là on est dans le révisionnisme voire la propagande chrétienne.
On est dans le peplum biblique avec ses gentils chrétiens qui se font martyrisés par les méchants païens. Sauf bien sûr ceux qui ne sont pas si méchant que cela puisqu’ils vont se convertir à la vraie foi.
Dans ce cheminement, 2 binômes :
- Constantin le tourmenté et sa mère Hélène, qu’il n’a jamais connus
- son ami Hadrian et la belle Livia forte des convictions de la jeunesse
D’un côté on a Hélène qui assume ses choix religieux et moraux jusqu’au bout, quoi qu’il puisse lui en coûter, et d’un autre côté on a une cruche que ne cesse de parler de martyr au nom du messie Jésus Christ mais qui se laisse mourir d’inanition après avoir été pelotée par 1 ou 2 centurions balourds. C’était ridicule et c’est dommage car cela fait tomber à plat l’évolution d’Hadrian qui avait été bien construite. Ne vous inquiétez pas, à la fin Hadrian et Constantin se convertisse au christianisme et triomphe des méchants romains restés païens pour établir la paix et la prospérité pour des siècles et des siècles. Amen.
Interprétation :
A défaut d’être très charismatique, Cornel Wilde dégage du début à la fin une belle énergie. Massimo Serato remplit son rôle d’ordure carriériste prêt à tout et au reste par amour du pouvoir. Fausto Tozzi est loin d’avoir une gueule de jeune premier, mais il fait le taf correctement. Christine Kaufmann a toujours été mignonne tour plein, mais là est joue les potiches. C’est quand même ballot de sous-utiliser Belinda Lee, l’une des actrices les plus glamour et les plus sexy de l’époque. Pour tout le reste, c’est quand même assez anecdotique…
Réalisation :
C’est dans les standards de l’époque pour le bon et le moins bon. Les combats et les batailles sont corrects, mais tout cela manque de diversité et de souffle. En fait c’est sur la qualité des scènes d’action et donc du maître d’arme et des cascadeurs qu’on mesure la différence entre un peplum lambda et un peplum sympa : ici c’est assez visible qu’on est plutôt dans le 1ère catégorie. Bref Lionello De Felice nous livre une prestation assez convenue, surtout au vu d’une matière assez riche.
Visuel :
Le film a bénéficié d’un budget conséquent, cela se sent assez vite. Les décors extérieurs en Yougoslavie offre une ambiance de bon aloi au film et les décors intérieurs son très bien. Pour le reste c’est dans les standards de l’époque. Mais si cela fait de bien de faire qqch d’autre que Cinecitta.
Bande-son :
Les partitions de Mario Nascimbene sont très bien, mais comme on joue son thème principal durant tout le film, cela devient vite assez gonflant.
Pas convaincu, voire même déçu.
Scénarisation :
Cette hagiographie du premier empereur chrétien n’a pas marché avec moi. Quand on connaît la très longue liste de ses crimes personnels ou de masses, le voir ici en chantre de la tolérance, de l’amitié et de la solidarité entre les peuples cela me hérisse le poil. Le message humaniste est fort joli, et il aurait gagné à être accompagné d’un peu plus de pédagogie sur le Bas Empire (la tétrarchie est bazardée en 1 dialogue) là on est dans le révisionnisme voire la propagande chrétienne.
On est dans le peplum biblique avec ses gentils chrétiens qui se font martyrisés par les méchants païens. Sauf bien sûr ceux qui ne sont pas si méchant que cela puisqu’ils vont se convertir à la vraie foi.
Dans ce cheminement, 2 binômes :
- Constantin le tourmenté et sa mère Hélène, qu’il n’a jamais connus
- son ami Hadrian et la belle Livia forte des convictions de la jeunesse
D’un côté on a Hélène qui assume ses choix religieux et moraux jusqu’au bout, quoi qu’il puisse lui en coûter, et d’un autre côté on a une cruche que ne cesse de parler de martyr au nom du messie Jésus Christ mais qui se laisse mourir d’inanition après avoir été pelotée par 1 ou 2 centurions balourds. C’était ridicule et c’est dommage car cela fait tomber à plat l’évolution d’Hadrian qui avait été bien construite. Ne vous inquiétez pas, à la fin Hadrian et Constantin se convertisse au christianisme et triomphe des méchants romains restés païens pour établir la paix et la prospérité pour des siècles et des siècles. Amen.
Interprétation :
A défaut d’être très charismatique, Cornel Wilde dégage du début à la fin une belle énergie. Massimo Serato remplit son rôle d’ordure carriériste prêt à tout et au reste par amour du pouvoir. Fausto Tozzi est loin d’avoir une gueule de jeune premier, mais il fait le taf correctement. Christine Kaufmann a toujours été mignonne tour plein, mais là est joue les potiches. C’est quand même ballot de sous-utiliser Belinda Lee, l’une des actrices les plus glamour et les plus sexy de l’époque. Pour tout le reste, c’est quand même assez anecdotique…
Réalisation :
C’est dans les standards de l’époque pour le bon et le moins bon. Les combats et les batailles sont corrects, mais tout cela manque de diversité et de souffle. En fait c’est sur la qualité des scènes d’action et donc du maître d’arme et des cascadeurs qu’on mesure la différence entre un peplum lambda et un peplum sympa : ici c’est assez visible qu’on est plutôt dans le 1ère catégorie. Bref Lionello De Felice nous livre une prestation assez convenue, surtout au vu d’une matière assez riche.
Visuel :
Le film a bénéficié d’un budget conséquent, cela se sent assez vite. Les décors extérieurs en Yougoslavie offre une ambiance de bon aloi au film et les décors intérieurs son très bien. Pour le reste c’est dans les standards de l’époque. Mais si cela fait de bien de faire qqch d’autre que Cinecitta.
Bande-son :
Les partitions de Mario Nascimbene sont très bien, mais comme on joue son thème principal durant tout le film, cela devient vite assez gonflant.
Dernière édition par Albéric le Jeu 7 Nov - 19:37, édité 1 fois
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
Dark Schneider avait lancé sur alerte sur le téléfilm Pompéi sur NRJ12 : merci à lui, on a passé un bon réveillon en famille car c'était pas si mal et on retrouvait les sensations des films d'antan sans que cela fasse vieillot.
J'en reparlerai plus tard si j'en trouve le temps...
J'en reparlerai plus tard si j'en trouve le temps...
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
http://www.lefigaro.fr/cinema/2014/02/28/03002-20140228ARTFIG00254--pompei-300-noe-exodus-les-peplums-sont-de-retour-dans-l-arene.php
Prochain en date : le remake des Dix Commandements par Ridley Scott avec Christian Batman Bale dans le rôle de Moses / Moïse...
Prochain en date : le remake des Dix Commandements par Ridley Scott avec Christian Batman Bale dans le rôle de Moses / Moïse...
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
Avec les moyens modernes et la 3D, je suis persuadé que la peplum peut gagner une véritable nouvelle jeunesse.
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
Les Guerriers de Rome (2003) :
Résumé de Boudica (titre VO) :
En l'an 62 de notre ère, l'empereur romain, le tout-puissant Neron règne sans merci sur l'occident en asservissant cruellement les peuples conquis. Seule une tribu celtique résiste à l'invasion ennemie : les Icenis.
Je savais qu’une adaptation cinématographique d’un moment d’histoire nationale n’allait pas être d’une grande profondeur, mais là force est de reconnaître que c’est bien plus mauvais que le Vercingétorix avec Christophe Lambert…
On aurait pu dénoncer le colonialisme britannique derrière le colonialisme romain.
On aurait pu approfondir les thématiques de l’acculturation, de la déculturation et de la contre-acculturation.
On aurait pu développer le thème des faucons et des colombes (dans le film Agrippine et le druide fanatique empoisonnent leur souverain respectif presque simultanément).
Oui, mais non. On reste dans les mages d’Epinal.
Claude est naïf et gâteux.
Agrippine est incestueuse.
Néron est narcissique et vicieux.
Catus Decianus est un carriériste voyeuriste, cupide et lâche.
Face à eux tous les Bretons sont nobles et valeureux…
On refait le colonialisme au pas de course sans transitions : diplomatie, commerce, alliance, vassalité, impôts et tribus, pillage et esclavage.
Pour ne rien gâcher les dialogues sont assez faibles les discours à la Bravehart ne marchent pas.
Sur la forme ce n’est pas mieux.
La réalisation est plate.
La direction artistique n’apporte rien.
La photographie est digne d’un DTV tourné en Europe de l’Est, vieillissant un ensemble qui n’en avait pas besoin.
Les décors sont limités : quelques huttes près d’une rivière, quelques tentes d’un camp romain, une Camulodunum de carton pâte et la salle du trône de l’empereur.
Les partitions de Nina Humphreys, sont pas mal, mais elles n’amènent rien car est sont rarement utilisés.
Niveau action les combats sont peu nombreux et peu palpitants (avec 1 ou 2 faux raccords WTF !)
Je n’ai pas compris ce qu’on voulait faire avec la bande d’enfants guerriers fouisseurs entre l’enfant barbare de Mad Max 2 et les enfants pillards du dernier Robin Hood. Idem avec le personnage du rebelle punk Connach.
Si les combats sont moyennasses, on s’attarde sur des trucs grimm & gritty superfétatoires (inceste, orgie, viol, meurtre, décapitation).
Le pire c’est que c’est assez mal joué (avec des poses parfois risibles), alors que c’est truffé d’acteurs anglais que j’aime bien : Alex Kingston, Steven Waddington, Emily Blunt, Hugo Speer, Gary Lewis.
Dans ce ratage, Hugo Speer s’en sort bien dans le rôle du guerrier Dervalloc qui veut concilier amour et devoir.
Bref, sans doute à éviter…
Résumé de Boudica (titre VO) :
En l'an 62 de notre ère, l'empereur romain, le tout-puissant Neron règne sans merci sur l'occident en asservissant cruellement les peuples conquis. Seule une tribu celtique résiste à l'invasion ennemie : les Icenis.
Je savais qu’une adaptation cinématographique d’un moment d’histoire nationale n’allait pas être d’une grande profondeur, mais là force est de reconnaître que c’est bien plus mauvais que le Vercingétorix avec Christophe Lambert…
On aurait pu dénoncer le colonialisme britannique derrière le colonialisme romain.
On aurait pu approfondir les thématiques de l’acculturation, de la déculturation et de la contre-acculturation.
On aurait pu développer le thème des faucons et des colombes (dans le film Agrippine et le druide fanatique empoisonnent leur souverain respectif presque simultanément).
Oui, mais non. On reste dans les mages d’Epinal.
Claude est naïf et gâteux.
Agrippine est incestueuse.
Néron est narcissique et vicieux.
Catus Decianus est un carriériste voyeuriste, cupide et lâche.
Face à eux tous les Bretons sont nobles et valeureux…
On refait le colonialisme au pas de course sans transitions : diplomatie, commerce, alliance, vassalité, impôts et tribus, pillage et esclavage.
Pour ne rien gâcher les dialogues sont assez faibles les discours à la Bravehart ne marchent pas.
Sur la forme ce n’est pas mieux.
La réalisation est plate.
La direction artistique n’apporte rien.
La photographie est digne d’un DTV tourné en Europe de l’Est, vieillissant un ensemble qui n’en avait pas besoin.
Les décors sont limités : quelques huttes près d’une rivière, quelques tentes d’un camp romain, une Camulodunum de carton pâte et la salle du trône de l’empereur.
Les partitions de Nina Humphreys, sont pas mal, mais elles n’amènent rien car est sont rarement utilisés.
Niveau action les combats sont peu nombreux et peu palpitants (avec 1 ou 2 faux raccords WTF !)
Je n’ai pas compris ce qu’on voulait faire avec la bande d’enfants guerriers fouisseurs entre l’enfant barbare de Mad Max 2 et les enfants pillards du dernier Robin Hood. Idem avec le personnage du rebelle punk Connach.
Si les combats sont moyennasses, on s’attarde sur des trucs grimm & gritty superfétatoires (inceste, orgie, viol, meurtre, décapitation).
Le pire c’est que c’est assez mal joué (avec des poses parfois risibles), alors que c’est truffé d’acteurs anglais que j’aime bien : Alex Kingston, Steven Waddington, Emily Blunt, Hugo Speer, Gary Lewis.
Dans ce ratage, Hugo Speer s’en sort bien dans le rôle du guerrier Dervalloc qui veut concilier amour et devoir.
Bref, sans doute à éviter…
Dernière édition par Albéric le Sam 1 Nov - 7:20, édité 1 fois
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
Juste pour ça, il faut reconnaître que c'est un tour de force.Albéric a écrit:Je savais qu’une adaptation cinématographique d’un moment d’histoire nationale n’allait pas être d’une grande profondeur, mais là force est de reconnaître que c’est bien plus mauvais que le Vercingétorix avec Christophe Lambert…
Derfel- Prince de Dardanie
- Date d'inscription : 23/06/2010
Re: Peplum forever
@ Derfel
Au moins le Vercingétorix avait un côté nanar sympa, là c'est plat et moins abouti qu'un téléfilm... Grosse déception pour moi qui était content de voir un peplum.
Au moins le Vercingétorix avait un côté nanar sympa, là c'est plat et moins abouti qu'un téléfilm... Grosse déception pour moi qui était content de voir un peplum.
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
J'espère que les romans sur Boudica sont supérieurs.Albéric a écrit:@ Derfel
Au moins le Vercingétorix avait un côté nanar sympa, là c'est plat et moins abouti qu'un téléfilm... Grosse déception pour moi qui était content de voir un peplum.
Derfel- Prince de Dardanie
- Date d'inscription : 23/06/2010
Re: Peplum forever
Je connais une fan. Je vais lui demander de ce pas...Derfel a écrit:J'espère que les romans sur Boudica sont supérieurs.Albéric a écrit:@ Derfel
Au moins le Vercingétorix avait un côté nanar sympa, là c'est plat et moins abouti qu'un téléfilm... Grosse déception pour moi qui était content de voir un peplum.
... et aussitôt dit aussitôt fait
boudicca de babélio a écrit:Avec sa tétralogie « La reine celte », c'est le destin exceptionnel d'une femme bien connue aujourd'hui encore outre-manche mais très peu en France que Manda Scott a choisi de nous raconter en une magnifique fresque épique mêlant savamment histoire et fantastique. Cette femme, c'est Boudicca (« Celle qui apporte la victoire »), reine des Icènes qui prit en 60 après JC la tête d'une révolte réunissant les plus grands peuples de la Grande-Bretagne et visant à expulser les légions romaines de leurs terres sur lesquelles ils s'étaient installés au dépend des populations locales quelques années plus tôt. Souvent comparée à d'autres grands leaders « barbares » tels Vercingétorix (en Gaule) ou Arminius (en Germanie), cette femme qui fait désormais office de héros national pour nos amis britanniques se voit donc consacrer quatre romans relatant l'histoire de son combat et celui de son peuple afin de repousser l'envahisseur romain et surtout garantir la sauvegarde de sa culture et de ses traditions.
« Le rêve de l'aigle », premier volume de la série, nous entraîne ainsi au cœur de la Bretagne antique dont on découvre le fonctionnement, les coutumes, les croyances... Si le portrait que dresse Manda Scott de ce territoire sauvage et mystérieux n'est pas nécessairement conforme à la réalité historique, c'est malgré tout avec émerveillement que l'on se laisse happer par ce pays d'une troublante beauté où les druides se nomment encore rêveurs, où les rivières et les forêts possèdent toutes une dimension sacrée, où l'on adore la redoutable déesse guerrière Briga... Une fois plongé dans cet univers, impossible d'en sortir et aujourd'hui encore, bien que ma lecture date maintenant d'il y a plusieurs années, c'est toujours avec la même émotion que je repense à ce roman. Il faut dire qu'outre le décor, Manda Scott a également particulièrement soigné ses personnages qui sont parvenus à me toucher plus profondément qu'aucun jusque là et qu'aucun depuis. Une fois cette fantastique épopée découverte, impossible de l'oublier.
Dernière édition par Albéric le Jeu 5 Juin - 20:14, édité 1 fois
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
les romans de manda scott sont géniaux :) et le film est un mauvais nanar fauché
Marv- Le Fléau des Démons
- Date d'inscription : 18/04/2014
Re: Peplum forever
mauvais nanar fauché = navetMEGALOCK a écrit:les romans de manda scott sont géniaux :) et le film est un mauvais nanar fauché
Sinon MEGALOCK, il ne te reste qu'à ouvrir un sujet sur Manda Scott à l'avenir.
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
oui mais çà fait un moment que je les ai lu alors c'est pas si évident que çà de formuler une présentation pertinente sans que j'y remette le nez dedans avant( y a 1 ans et demi j'en parlais déjà avec derfel, c'est une vieille lecture pour moi au moins 4/5 ans voir plus meme, mais j'en garde un souvenir exceptionnelle mais en deçà de cornwell)
Marv- Le Fléau des Démons
- Date d'inscription : 18/04/2014
Re: Peplum forever
Il y'a déjà eu un film inspiré de Boudica dans les années 60, dans mes souvenirs il était plutôt bon. Très centrés sur les bretons, mais la reine Boudica était loin d'être sans défauts...
Dark schneider- Unificateur des Nadirs
- Date d'inscription : 19/01/2009
Re: Peplum forever
Suite à ça. j'ai acheté les romans, mais je ne les ai pas toujours lu.MEGALOCK a écrit:( y a 1 ans et demi j'en parlais déjà avec derfel
Derfel- Prince de Dardanie
- Date d'inscription : 23/06/2010
Re: Peplum forever
Ouf, il existe plein de pays peuplés de gens qui ne prennent pas de haut les cinémas de genre !
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
Re: Peplum forever
Demain Ben Hur remasterisé repasse sur Arte... ^^
Albéric- Nécromancien
- Date d'inscription : 16/01/2012
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