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Brian Azzarello, Joker
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Brian Azzarello, Joker
Le joker sort de l'Asile d'Arkham, mais il n'est pas content. En son absence, ses amis Lascars ont partagé sa part du gâteau et l'ont vendue, pensant qu'il ne reviendrait plus. Mais le joker est de retour et il est bien décidé à mettre Gotham à feu et à sang, même s'il doit pour ce faire affronter de nouveau son ennemi de toujours... Batman !
Marv- Le Fléau des Démons
- Date d'inscription : 18/04/2014
Re: Brian Azzarello, Joker
Je ne sais pas si c'est l'âge qui veut cela mais le temps passant je suis de plus en plus attiré et sensible à la diversité de la production Dc comics et tout particulièrement à ses one shot .
Ce Joker de Brian Azzarello (100 bullets) a ce quelque chose de particulier qu'il est conçu comme un film de genre de type "thriller mafieux" où le personnage central un certain Johnny frost, criminel de seconde zone, est chargé d'aller récupérer le Joker à la sortie de l'hôpital psychiatrique d'Arkham.
Guéris semble-t-il et apte à reprendre une vie normale, nos premiers pas en la compagnie du Joker nous apprennes surtout une chose, c'est qu'il est surtout toujours aussi cinglé et psychopathe, on peut facilement convenir qu'il aura très certainement versé ce qu''il faut en matière de dessous de table pour se sortir de l'asile d'Arkham.
Dans une ambiance de récit noir et crasseux le Joker entend bien récupérer la place qui était la sienne au sein d'une criminalité qui fait la loi dans les quartiers les plus sordides de Gotham et qui se sera plutôt bien accommodée de son absence.
Accompagné de son tout nouvel acolyte, il apparaît rapidement que le chemin qui permettra au roi de récupérer sa couronne sera jonché de sang, de chair et de larmes.
"Si tu danses avec le diable tu ne vas pas le changer, c’est lui qui va te changer."
Le final sera sans concessions, il délivrera sans doute l'un des portraits les plus saisissants sur le personnage.
Le joker de Brian Azzarello, très proche dans l'esprit de l'interprétation qu'en a fait Heath Ledger, est le Joker tel qu'il devrait toujours être dans le comics.
Sans être exceptionnel, les planches de lee Bermejo, dont le style rappelle celui d'un Todd McFarlane, sont dans le ton et contribuent à installer cette ambiance sombre et crasseuse où la folie guette ceux qui marchent dans les pas du Joker.
Marv- Le Fléau des Démons
- Date d'inscription : 18/04/2014
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